.../Jo Casaglione fixait la jeune femme depuis son entrée dans L’Estanquèt, plus elle se rapprochait de lui, plus il la trouvait jolie. Seule l’épaisseur du comptoir les séparait et Jo, déstabilisé par le parfum de la jeune femme, vacillait. Opium d’Yves Saint-Laurent, une arme fatale qu’utilisait Églantine en complément de son décolleté, une arme létale qui fonctionnait à merveille. Les yeux d’Églantine troublèrent encore davantage Jo, les mêmes que lui, enfin presque, surtout lorsqu’il était en colère/...
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